Google Traduction :
L'Elysée verse de l'essence sur les flammes de la rumeur
Si le président Nicolas Sarkozy veut garder sa vie privée hors de l'œil du public, il a une drôle de façon de s'y prendre.
Des accusations de complot pour contrecarrer financiers règlement d'inspiration française. Une sonde par le service de contre-espionnage de la France. Conseils de la vengeance par un ministre repoussé ex. Un appel au public par une femme blessée.
C'est ainsi que le palais de l'Élysée traités cette semaine avec des rumeurs d'infidélité conjugale de Nicolas Sarkozy et son épouse, Carla Bruni-Sarkozy. La réaction exagérée de l'Elysée a réussi à transformer un objet des commérages, mais nuisible à ceux qui sont impliqués, dans une question de jugement politique, le Président et sa capacité à se concentrer sur son travail.
La saga a encore miné la position de M. Sarkozy avec son parti de centre-droit UMP, déjà dans les bras de son style de gouvernement et impulsive chaîne d'incidents, y compris une cuisante défaite aux élections régionales du mois dernier.
"Les députés UMP réagissent mal", a déclaré Jean-François Copé, leur chef à l'Assemblée nationale. "Ils ont vraiment pas besoin de ce à ce moment. Ils sont exaspérés par cette nouvelle effusion.
Claude Goasguen, député UMP, a déclaré: "Cela a créé une ambiance terrible."
Les rumeurs concernant le couple présidentiel ont circulé pendant plusieurs semaines et ont été largement repris par les journaux étrangers, parfois en citant les uns les autres comme sources.
Jusqu'à récemment, la presse française a quitté le récit seul. Un exemple de déférence journalistique? L'effet des lois sur la protection de la France? Ou peut-être ils ont conclu que des rumeurs non fondées ne devrait pas être mis en impression.
Les rumeurs aurait probablement tourné court. Selon un sondage d'opinion, 82 pour cent des Français ont déclaré que leur point de vue des hommes politiques n'a pas été affectée par des rumeurs sur leur vie privée.
Mais alors l'un des plus proches conseillers de M. Sarkozy a donné une série d'entrevues allusion à un complot organisé pour déstabiliser le chef d'Etat français, ce qui déclenche une tempête médiatique.
Le conseiller a suggéré Elysée, M. Sarkozy a été victime d '«intérêts financiers» qui cherchent à miner son autorité avant que la France prend la présidence du groupe G20 des principales économies à la fin de cette année. Il est apparu que le service France de renseignement intérieur, le DCRI, avait lancé une enquête sur l'origine des rumeurs.
Contrairement rapports que l'instigateur de la rumeur n'était autre que Rachida Dati, ministre de la Justice glamour ancien, ont eu foi lorsque le chef de M. Sarkozy du personnel a déclaré le président «ne veut plus la voir".
Il a fallu soigneusement calibrée, mais interview à la radio digne de Carla Bruni-Sarkozy - la fureur avait atteint «des proportions ridicules" - pour appeler l'Elysée à l'ordre. Mais le mal était déjà fait.
Le jugement de la France normalement journaux sobre a été sévère. «Cacophonie à l'Elysée", a déclaré Le Monde. «Une comédie burlesque romantique», a exprimé l'avis Libération.
L'épisode a été un cadeau aux adversaires politiques de M. Sarkozy, qui lui présenter comme un monarque républicain narcissique, entouré de courtisans serviles et déconnecté du monde réel.
«Quand les Français ont tant de problèmes, si oui ou non il ya un complot en relation avec telle ou telle rumeur, si elle est telle ou telle personne dans l'entourage du président ou d'un ancien ministre qui est de la propager, tout ce qui semble dérisoire il ne sont pas le signe d'une rupture d'un système de pouvoir », a déclaré François Hollande, un ancien dirigeant socialiste.
Partager cet Article:
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire