jeudi 15 avril 2010

FINANCIAL TIMES Royaume Uni : La television francaise, une comedie d erreurs


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La télévision de l'Etat français fait une comédie d'erreurs

Nicolas Sarkozy, le président français, a présenté un spectacle mémorable il ya deux ans quand il a organisé une conférence de presse grand lorsque, dans un seul souffle, il a confirmé sa relation avec Carla Bruni, a averti que les caisses de l'Etat étaient vides, et a annoncé son intention de la réforme de la télévision française publique sur le modèle de la BBC britannique.

M. Sarkozy n'a jamais répété l'exercice. Il n'est pas surprenant, étant donné que les deux ans sur toutes sortes de rumeurs volent sur sa relation avec la première dame, les caisses de l'Etat sont encore plus appauvri, et la réforme de la télévision d'Etat est devenu une saga édifiante. Son intention initiale - de supprimer la publicité à la télévision publique, en libérant le diffuseur des chaînes de la chasse évaluations - est judicieuse. L'idée était de permettre à la chaîne d'état de se concentrer sur la qualité de ses programmes et, finalement, de devenir une version française de la BBC.

Le problème depuis le début a été que l'exécution de cette stratégie n'est pas seulement se précipita, mais mal gérée. Premièrement, M. Sarkozy a pris son propre gouvernement par surprise quand il a annoncé son plan visant à interdire la publicité à la télévision publique. En effet, quelques jours avant, ses communications et ministre de la Culture a suggéré le contraire, ce qui confirme que les réseaux de l'État continuerait à être financée par une combinaison de publicité et une redevance de licence. Alors, plutôt que d'encourager une interdiction immédiate de toute publicité, le gouvernement a adopté une approche en deux étapes. Publicité dans un premier temps être banni de chaînes publiques à partir de 8pm partir de Janvier 2009 puis démoli en 2011.

Pour compenser la perte de revenus, le gouvernement a introduit une taxe sur les radiodiffuseurs privés et les sociétés de télécommunications pour aider à financer les réseaux publics. Les radiodiffuseurs du secteur privé et les groupes de télécommunications étaient livides - d'autant plus étant donné que certains, comme le groupe de construction Bouygues et propriétaire de la tête du pays le réseau de télévision commerciale TF1, a été largement accusé de profiter de leurs relations amicales avec M. Sarkozy. Mais plutôt que de profiter de l'interdiction, ces groupes privés ont fini par payer la facture.

M. Sarkozy a fait sourciller plus loin en décidant qu'à l'avenir il serait le président français, qui serait responsable en dernier ressort pour nommer le chef de la chaîne de télévision publique. L'opposition a protesté, affirmant qu'il était tentant de resserrer son emprise sur la télévision d'Etat et a été lui donnant une structure contraire à l'indépendance légale de la radiodiffusion au Royaume-Uni, si la BBC en effet resté son modèle.

Les réseaux de l'Etat français semblent avoir adapté à la perte de la publicité après 8pm, et les téléspectateurs semblent apprécier les programmes sans pauses régulières. Mais avec la perspective de l'année prochaine d'une interdiction de jour sur les publicités, la télévision d'Etat a commencé à chercher l'an dernier pour les investisseurs extérieurs à acquérir une participation majoritaire dans sa filiale de publicité et, ce faisant, de privatiser l'entreprise.

A il ya quelques mois, il contrecœur entré en négociations exclusives pour vendre cette activité à un consortium composé du groupe publicitaire Publicis et la société holding d'affaires et producteur de télévision Stéphane Courbit. Mais l'accord controversé est en l'air et de causer encore un autre scandale politique dans la saga de télévision publique de longue durée.

Certains de M. Sarkozy ses propres membres influents du parti disent qu'ils sont opposés à la démolition des publicités pendant la journée de la télévision d'Etat. En conséquence bord du diffuseur français a décidé cette semaine de suspendre le processus de vente de sa division de publicité.

Pendant ce temps, le gouvernement a été de manoeuvre pour faire sortir Patrick de Carolis, la télévision d'Etat de la tête beaucoup trop indépendant, avant que son mandat expire en août. Mais M. de Carolis ne renonce pas tranquillement, même s'il est vouée à l'échec dans ses efforts pour résister à ce qui commence à chercher non pas tant comme une version gauloise de la BBC en tant que style italien "berlusconisation" de la télévision publique française.

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