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Nicolas Sarkozy, Carla Bruni et une intrigue digne de Molière
Gossip Lurid sur le mariage de Sarkozy a sombré dans un scandale politique de la proportion invraisemblable, dit Henry Samuel.
Nicolas Sarkozy et son épouse Carla Bruni, sont au centre d'une intrigue extraordinaire
C'est une farce tout droit sorti de Molière - avec quelques torsions même il aurait rejeté comme trop exagéré. Ce qui a commencé avec de vagues rumeurs d'infidélités conjugales impliquant le président français et son épouse pop-star a fait boule de neige dans une confusion politique, impliquant des enquêtes menées par la police et les services de renseignement, le bannissement des conseillers, le barbouillage d'un ex-ministre de la Justice - et, Bien sûr, les parcelles lâche par des financiers anglo-saxons méchants.
Bienvenue à "Le Château", comme le Palais de l'Elysée est désormais connu satiriques français, la maison de Nicolas Sarkozy, Carla Bruni-Sarkozy et de leurs cadres d'une grande influence - et parfois hystérique inefficace - de conseillers.
L'histoire a commencé avec ces rumeurs en ligne, qui est apparu sur Twitter peu de temps avant les élections régionales dans lequel Sarkozy et son centre-droit UMP parti a subi une raclée. Ils ont affirmé que l'épouse du président avait une liaison avec un ami chanteur pop, tandis que M. Sarkozy avait cherché une consolation dans les bras d'un ministre junior marié (et champion de karaté). L'histoire a été reprise par un blog sur le site internet du Journal du Dimanche, un journal du dimanche respecté, et saisis par la presse étrangère, mais ignorée par les médias de masse en France, Merci à une combinaison de lois sur la confidentialité et à la retenue traditionnelle.
Compte tenu de l'absence de preuves, et les dénégations robuste tout au long, M. Sarkozy aurait pu simplement se mit à rire le tout hors tension. Mais ce président ne reçoit pas des blagues: il obtient même. Tout d'abord, il aurait «pression» du document, qui est détenue par un de ses amis, en supprimant le blog. Deux journalistes ont ensuite été sommairement congédié. l'agence de renseignement intérieur France a été condamnée à poursuivre les coupables; Le Journal du Dimanche a également déposé une plainte pénale, déclenchant une enquête de police distincte dans l'introduction "d'informations frauduleuses dans un système informatique".
Entrez, le stade de gauche, spin doctor de M. Sarkozy, Pierre Charon. Tout cela pourrait être un complot visant à déstabiliser calculé le président avant les élections, a informé le corpulent Alastair Campbell à la française, qui a promis une campagne de «terreur» contre les fauteurs de bruit (malgré sa propension propres déclarés pour Gossip). Les coupables potentiels suggérés vont de l'opposition socialiste à la présidentielle son rival, l'ancien Premier ministre Dominique de Villepin, à des financiers britanniques, se pencha sur l'arrêt de M. Sarkozy de pousser pour une réglementation plus stricte de la Ville au G20 réunion de l'année prochaine.
M. Charon, cependant, finit par accuser Rachida Dati, 44 ans, la France épris de l'ancien ministre de la Justice Dior. Une fois protégée de M. Sarkozy et sa seconde femme, Cécilia, elle avait été évincé du cabinet et exilé à Bruxelles en tant que député, où elle s'était plaint qu'elle pourrait mourir d'ennui. Elle a été dépouillée de ses gardes du corps, chauffeur et voiture de fonction - que pour protester de son innocence et menacent de poursuivre en justice pour diffamation.
Le chef du service de renseignement intérieur a nié que le téléphone Miss Dati avait été mis sur écoute et a insisté qu'il avait appelé de son enquête une fois que la police leur a débuté. Veuillez entrer une aide Elysée seconde - Claude Guéant, Sarkozy en chef de M. de personnel, aussi connu comme «Le Cardinal». "Le président de la République ne veut plus voir Rachida Dati, at-il dit à un journal. Le lendemain, cependant, il a suggéré cryptique que« la vérité d'hier n'est pas, peut-être, celle d'aujourd'hui ".
Par la suite, l'Elysée a tenté d'amortir les choses: dans une interview à la radio sur le point, Mme Bruni-Sarkozy a déclaré les rumeurs "insignifiante". "Il n'ya pas de complot, at-elle insisté. "Il n'ya pas de vengeance. Il n'y a rien. Nous avons tourné la page. "Miss Dati, at-elle ajouté, est resté« très bien notre ami ".
Mais revenons à M. Guéant de mots, les Français sont maintenant se demander si "la vérité d'hier est celle d'aujourd'hui" quand il s'agit de M. Sarkozy lui-même.
En 2007, il a été élu en tant que défenseur de la réforme contondant. Trois ans plus tard, la confusion règne sur ce qu'il a accompli, et s'il doit même se présenter pour un second mandat en 2012. Si vous croyez que les sondages d'opinion, les Français ne pouvaient pas donner une baguette battant sur sa vie privée - mais ils ne se demandent s'il est, comme son média de réponse maladroite suggère, elle se composait comme il va de pair.
Selon un sondage, ce mois-ci, seulement 21 pour cent pensent qu'il fait un bon travail - un chiffre inférieur à aucun de ses prédécesseurs immédiats, y compris Jacques Chirac. Il dit qu'il décidera l'année prochaine s'il ya lieu de se représenter à l'élection, mais l'aile droite rivaux - notamment de Villepin et un autre ancien Premier ministre, Alain Juppé - sont déjà indirecte.
M. Sarkozy se défend. Hier, il a banni plusieurs de ses conseillers, dont M. Charon, de ses réunions quotidiennes, et les espoirs d'une réforme historique du système de retraite aidera récupérer soutien avant sa présidence du G20 l'année prochaine.
Mais certains se demandent s'il sera fait aucune différence. Un chroniqueur au journal Le Monde cette semaine cité Jacques Pilhan, conseiller rusé à deux anciens présidents: "Pour parler quand on est impopulaire, c'est comme marcher dans des sables mouvants. Plus on s'agite au sujet, plus on s'enfonce."
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